Tu trouveras ceci bien gribouillé, je n'ai qu'une main de libre et je n'y regarde que de côté, ma petite est sur mes genoux, où il faut la garder la moitié du jour. Elle tient le sein deux heures de suite en faisant de petits sommeils qu'elle interrompt pour sucer. Si on l'ôte, elle pleure et mange ses poings à peu près.
Publié dans Anthologie de l'allaitement maternel, Claude Didierjean-Jouveau

Madame Roland (1754-1793)
Lettre de Madame Roland à son époux, 20 novembre 1781
Pour poser une question, n'utilisez pas l'espace "Commentaires" ci-dessous, envoyez un mail à la boîte contact. Merci