Je suis la maman de Paul (6 ans) allaité 16 mois, et de Jeanne (14 mois) encore passionnée par la "gougoutte" !
Après une tétée câlin (un peu longue, je le concède !), je découvre une grosse cloque au bout de mon téton.
Ayant connu et surmonté crevasses, mastites, vasospasme et autres problèmes divers et variés, il était pour moi inconcevable qu’une cloque vienne compliquer, voire interrompre un allaitement qui se passait à merveille depuis des mois.
Observation, réflexion et action !
24 heures de repos total pour le sein "malade" et expression manuelle régulière du lait pour éviter l’engorgement.
Je me suis aussi procurée une ordonnance pour un tire-lait, car il vaut mieux prévenir que guérir.
Le lendemain, la cloque s’étant bien résorbée, je tente une tétée. Aïe... le petit ballon se regonfle de plus belle.
J’ai constaté que laisser l’ampoule enfermée lui permettait de se "désamorcer" plus vite qu’en la laissant à l’air libre.
J’ai appliqué très.très souvent sur la cloque (uniquement la partie gonflée) une pointe de cicalfate d’Avene pour assécher, puis du lait maternel en complément, et remis le sein au repos.
Jour après jour cette méthode a fonctionné, et j’ai réintégré des tétées au fur et à mesure.
En cinq jours, l’ampoule avait dégonflé, séché et cicatrisé, sans jamais se percer. Cela m’aura permis d’éviter une vive douleur et une cicatrisation plus longue.
Se faire confiance, faire confiance à son corps et à l’équipe que je forme avec ma fille reste pour moi un facteur essentiel de motivation pour faire perdurer l’expérience unique et incomparable de l’allaitement et du maternage.
Amitiés maternelles !
Audrey
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