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merci LLL d abord pour ton information, ensuite et surtout pour ton soutien si précieux, pour le réseau de mamans qui permet de gagner un temps fou et surtout de la confiance en soi et donc de la sérénité avec bébé et nos proches. Tu contribues à nous aider à offrir le meilleur de nous-même à nos enfants.
Bonsoir. Ce message juste pour vous féliciter vous les mamans qui avez su et pu allaité ! J'ai moi même allaité mon premier exclusivement au sein ses 9 premiers mois de vie et j'en garde de bons souvenirs. Ma deuxième, tout est si différent, l'état de fatigue, de stress, le manque de temps, son sous poids, enfin bref, la liste est longue et le resultat, un allaitement raté. Je suis au moment où je vous écris tres triste de ne pas y être arrivé. J'ai tout fait pourtant pour y arriver. Mais en vain, alors encore une fois fécitations à vous et profitez bien de cette chance qui s'offre à vous mères et enfants.
Bonjour,
Comme l'indique l'objet du message : Merci Infiniment pour tous les précieux conseils fournis sur le site. Commençant mon allaitement, j'ai eu des difficultés et les feuillets ont été des sources d'informations. Ils m'ont également donné confiance en moi. Pour dire mon mari aussi est devenu un adepte de votre site pour toute question concernant l'allaitement de notre bout'chou !!!
En tout cas merci beaucoup.
Maryama et Farid, des néo-parents allaitant !
Bonjour
A la recherche d'informations sur les effets de l'alcool sur l'enfant pendant l'allaitement, j'ai été choquée de trouver un article à ce propos sur votre site qui se termine en préconisant qu'une consommation occasionnelle n'est pas à proscrire car il n'y a aucune preuve d'effet notoire sur l'enfant allaité.
Sans être spécialiste, avant ma grossesse, j'avais été informée sur l'alcool par des médecins et psychiatre.J'ai pu constater que ces informations se trouvaient assez facilement sur internet.
Pour faire simple, l'alcool est un élément toxique pour l'organisme, le foie, le cerveau, le système nerveux...il ne s'agit pas d'une question de quantité mais de la nature chimique de l'alcool. Comment peut-on cautionner la consommation d'un produit qui n'a qu'un intérêt purement égoïste de plaisir et dont justement on ne connaît pas les effets réels sur l'enfant? Il paraît tellement évident que cela ne peut pas être une absence d'effet, puisqu'un toxique reste un toxique, que le seul conseil raisonnable semble être l'abstinence accompagné d'une information sur le produit.
Voilà maintenant 1 an et demi (grossesse et allaitement) que je ne bois plus d'alcool et que je fais attention aussi aux produits que je consomme(il peut restre jusqu'à 80% du taux d'alcool initial lorsqu'il est utilisé en cuisine et on en trouve souvent dans des plats cuisinés, sans aucune mention particulière d'avertissement).
Même en connaissant les effets de l'alcool, j'en consommais occasionnellement avant ma grossesse sans en faire un problème, je ne suis donc pas "extrémiste".
Cependant, en toute chose, et à plus forte raison pour mon enfant, je préfère appliquer le principe de précaution. Je ne comprends pas que l'on joue à la roulette russe avec son enfant, car il est impossible de savoir quel sera l'effet de l'alcool sur un enfant sachant que l'effet est déjà différent d'un adulte à l'autre, même s'il n'est jamais nul.
Vous me rétorquerez qu'il n'y a pas d'étude qui prouve les effets nocifs...les seules études portent en effet sur des consommations pendant la grossesse et souvent sur des quantités importantes...aucun lien ne sera fait par un pédiatre avec un retard de développement ou une fragilité nerveuse avec une consommation d'alcool occasionnelle, poutant ce sont des conséquences reconnues d'une consommation "modérée" pendant la grossesse...
J'en suis arrivée à la conclusion que, comme pour beaucoup de produits d'usage "courant", il y a défaut d'information car il est plus important que nous restions des consommatrices et que nous achetions ces produits. Au final, quasiment toutes les femmes enceintes que je connais ont consommé de l'alcool pendant leur grossesse, avec le sentiment qu'elles ne prenaient aucun risque pour leur enfant mais en totale méconnaissance de la nature même de ce produit.
La grossesse et l'allaitement ne durent pas toute la vie! Nous aurons donc bien des occasions de boire quelques verres ou de nous enivrer à plaisir une fois cette période passée.
Je ne jette pas la pierre sur les mères mais plus sur notre société qui banalise l'alcool pour des raisons économiques(c'est flagrant quand on connaît l'histoire de la médiatisation de ce produit) au lieu d'informer afin de permettre une consommation "éclairée".
Je suis désolée si mon message est un peu long, mais ce sujet me révolte particulièrement et je voulais juste vous faire part de mon incompréhension face à votre position.
La prévention et le principe de précaution ne devraient-ils pas prévaloir quand il ne s'agit de nos enfants pour leur donner les meilleures de chance dans la vie (santé et autre)?
Votre site reste tout de même pour moi une source précieuse d'information...mais qui aime bien...
Cordialement
Karine
Réponse de LLL France :
Ne pas boire d'alcool du tout pendant toute la durée de l'allaitement (qui, pour certaines femmes, peut durer une dizaine d'années pour plusieurs enfants), pourquoi pas ? Ce n'est sûrement pas un mal, on n'a pas besoin d'alcool pour vivre !
Mais la situation est quand même toute différente pendant la grossesse et pendant l'allaitement au niveau de la "dose" d'alcool qui atteint l'enfant.
Et entre une alcoolisation régulière et journalière (n'oublions pas qu'il n'y a pas si longtemps, on recommandait aux mères allaitantes de boire tous les jours de la bière pour augmenter leur lactation !) et un verre de vin à l'occasion, il y a une grosse différence.
Il ne s'agit pas de la "position de LLL", mais de ce que disent la plupart des experts en allaitement et toxiques.
Si une femme renonce complètement à l'alcool pendant tout son allaitement, c'est sans doute mieux pour tout le monde.
Mais quid d'une femme qui a envie de boire un verre avec les copains et qui, pensant que l'alcool est totalement incompatible avec l'allaitement, va décider de sevrer son bébé. Pensez-vous que celui-ci sera gagnant au final ?
Bonjour!
Un grand nombre d'informations! - Très bien présenté! - Très bien. Félicitations! Je vous remercie!
Bonjour! J'ai passé quelques minutes sur le site et beaucoup
d'émotions positives! J'ai passé un très bon moment - merci! Bon
travail!
Juste merci de tout ce que vous faites, de nous prouver que nous avons raison dans notre allaitement et notre maternage malgré les remarques désobligeantes des gens.
Merci.
Un grand merci à Amélie que j'ai contactée par téléphone et qui m'a aidé dans mes problèmes d'allaitement. J'avais une "simple" dermatose, qui pourtant m'empêchait d'allaiter (j'utilisait le tire-lait) et aussi qui me faisait horriblement mal. Grâce à son aide et conseils, j'ai guéri en très peu de temps et j'ai pu re-allaiter mon bébé, ce que je continue à faire encore aujourd'hui (il a 5 moi maintenant)
Mon fils, Charles, va avoir 20 mois et je l'allaite toujours avec joie et fierté, malgré toutes les bêtises que je peux entendre sur l'allaitement après 1 an, y compris de la part de pédiatres qui trouvent cela "indécent" !!!!
Peu importe, je n'écoute que mon instinct maternel et me dis que depuis sa naissance, il n'a jamais été malade une seule fois ! Et j'aimerais continuer... Je suis fière de cela et le serai toute ma vie, moi qui n'aurais jamais pensé à allaiter avant de tomber enceinte !!!!!Mais ce fut comme une évidence...
Je ne regrette rien, bien au contraire !!!! Ce lien avec Charles est merveilleux et je le conseille à toutes.
bonjour
ma petite puce est née avec un syndrôme très rare, elle a une trachéotomie et elle est nourrie par gastrostomie. Elle a été hospitalisée pendant jusqu' 4 mois et demi. Je me suis battue pour l'allaiter , c'était pour moi la seule chose que je pouvais faire pour elle car elle était clouée dans son lit. Malgré le transfert à Paris, chaque test refait sur mon lait , j'ai tenu bon, je me suis énervée, j'ai pleuré mais aujourd'hui elle a 6 mois et a eu un allaitement exclusif au lait maternel.
La fatigue se fait sentir avec tous les soins je n'en peux plus et je viens de lui donner pour la première fois un biberon de lait artificiel dans le but la sevrer mais je culpabilise beaucoup; j'aurais aimer comme pour son frère l'allaiter jusqu'à un an mais c'est trop dur. Le médecin veut me mettre sous anxyiolytique et je pense que ça me fera du bien alors j'espère que mon petit amour tolèrera ce lait et que ces 6 mois auront été bénéfique pour elle .
J' ai eu le bonheur à quelques reprises de la mettre au sein même si elle n'a jamais réussi à téter et ça sera pour toujours l'un des plus beaux moments avec ma fille
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