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Cas cliniques

Cas cliniques

en bref
cas cliniques novembre 2020

Les mères souffrant de COVID-19 peuvent allaiter après la disparition du virus : un cas
Actuellement, il ne semble pas exister de cas de transmission intra-utérine du SARS-CoV-2 lorsque la mère a été contaminée pendant le 3e trimestre de la grossesse, mais il existe encore très peu de données sur la possibilité d’une transmission via le lait maternel. Les auteurs présentent le cas d’une femme contaminée par le SARS-CoV-2, suivie jusqu’à son accouchement et pendant son allaitement.

Détection de l’ARN du SARS-CoV-2 dans le lait humain
Les études menées jusqu’en avril 2020 sur le sujet n’ont pas constaté d’excrétion du SARS-CoV-2 dans le lait maternel, mais les données reposent sur peu de femmes. Les auteurs de cette étude ont recherché ce virus dans le lait de 2 mères contaminées.

Un cas de COVID-19 chez un prématuré de 26 semaines
Il existe encore très peu de données sur l’impact clinique d’une contamination par la COVID 19 pendant la grossesse et sur le risque de transmission verticale, mais les données publiées sur quelques mères n’ont pas démontré qu’une telle transmission est possible. Les professionnels de santé travaillant en obstétrique et en néonatalogie se sont donc surtout focalisés sur la prévention de la transmission après la naissance. Les auteurs rapportent le cas d’un très grand prématuré contaminé par la COVID-19.

Tissu mammaire ectopique au niveau vulvaire
La zone vulvaire peut être le siège de tumeurs variées : kystes muqueux, lipomes, kystes des glandes de Bartholin… mais également de tissu mammaire ectopique, même si cette localisation est nettement plus rare qu’une localisation axillaire ou thoracique. Le 1er cas de tissu mammaire vulvaire a été décrit en 1872, et depuis, 40 autres cas ont fait l’objet d’une publication médicale. Les auteurs présentent un nouveau cas.

Glande ano-génitale de type mammaire chez une mère allaitante
La dénomination « glande ano-génitale de type mammaire » (GAGM) est utilisée pour parler de glandes qui se situent le plus souvent dans les sillons interlabiaux de la vulve (localisation de très loin la plus fréquente), au niveau du périnée ou au niveau de la marge anale. Ces glandes constituent des tumeurs bénignes fréquentes chez la femme. Leur structure est plus ou moins complexe, allant de quelques tubules à un ensemble de multiples canaux branchés sur des lobules similaires à des acini, avec un revêtement de cellules luminales épithéliales et une couche basale de cellules myoépithéliales. Les études menées sur leurs caractéristiques histologiques ont constaté des similitudes avec celles du tissu mammaire. Il n’existe pas de réel consensus concernant leur origine, mais l’hypothèse la plus fréquence est que ces glandes sont en fait du tissu mammaire ectopique. Les auteurs présentent un cas de GAGM chez une mère allaitante.

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Les informations trouvées sur le site ne se substituent pas à un avis médical, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien.

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