Études récentes
Dans cette étude chinoise où la taille, le poids, le tour de taille et la tension artérielle de 8 480 enfants de première année d'école primaire à Shanghai ont été mesurés pour diagnostiquer l'obésité, l'obésité centrale (ou abdominale) et l'hypertension, la durée de l’allaitement était inversement associée aux valeurs de tension artérielle : chaque mois d'allaitement supplémentaire était associé à une diminution de 0,07 mmHg de la pression artérielle systolique et à une diminution de 0,05 mmHg de la pression artérielle diastolique. Tout allaitement supérieur à un mois était associé à un risque réduit d'hypertension. Un allaitement exclusif de plus d'un mois était associé à un risque réduit d'obésité centrale. Un allaitement de plus de 12 mois était associé à un risque plus faible d'hypertension.
Dans une étude australienne faite sur 160 mères allaitantes, les femmes ayant allaité pendant au moins 6 mois ont connu une baisse de tension artérielle et une meilleure récupération du poids corporel (ou IMC) durant les 3 années ayant suivi la naissance du bébé. cela serait particulièrement important pour les femmes ayant vécu une grossesse compliquée et développé des complications pouvant augmenter le risque de maladie cardiovasculaire plus tard dans la vie.
Parmi près de 10 millions de nourrissons américains nés entre 2016 et 2018, les bébés allaités étaient 33 % moins susceptibles de mourir pendant la période post-périnatale (jour 7-364) que les nourrissons qui n’étaient pas allaités, rapporte une nouvelle étude dans l'American Journal of Preventive Medicine.
Conclusion de cette méta-analyse : " La ponction à l'aiguille présente de meilleurs avantages en termes de temps de guérison, d'évitement de la fistule mammaire, de poursuite de l'allaitement et de satisfaction des patientes. Bien que la ponction et l'incision/drainage aient des taux de guérison et de récidive similaires, la ponction, avec ou sans guidage échographique, pourrait être utilisée comme traitement de première intention des abcès du sein."
En analysant des échantillons de lait maternel, les chercheurs ont identifié le sucre carbocyclique myo-inositol comme un composant qui favorise le développement du cerveau. Il est le plus abondant dans le lait maternel au début de la lactation, lorsque les connexions neuronales se forment rapidement dans le cerveau du nourrisson. Mécaniquement, le myo-inositol améliore la capacité des neurones à répondre aux interactions transsynaptiques qui induisent les synapses. Cette étude fait progresser la compréhension de l'impact du lait maternel sur le cerveau du nourrisson et identifie le myo-inositol comme un composant du lait maternel qui favorise la formation de connexions neuronales.
Une étude publiée le 20 avril 2023 dans la revue scientifique Clinical Infectious Diseases n'a révélé aucune transmission du VIH parmi 72 personnes vivant avec le VIH qui ont allaité leur enfant entre 2014 et 2022 aux États-Unis et au Canada. Sur seronet.info.
Dans cette étude, l'allaitement complet pendant ≥ 3 mois était positivement associé à une plus longue durée de sommeil du nourrisson. Les enfants entièrement allaités étaient plus susceptibles de connaître de meilleures trajectoires de sommeil caractérisées par une durée plus longue au cours de leurs deux premières années de vie.
Dans cette étude faite chez des enfants espagnols d’âge préscolaire, la durée de l’allaitement était inversement corrélée à la consommation d’aliments utltra-transformés, y compris la viande ultra-transformée, la restauration rapide, le chocolat et les produits laitiers tels que les crèmes anglaises et les smoothies.
Dans cette étude faite sur 4 940 enfants britanniques nés entre 2000 et 2002, ceux qui avaient été allaités au moins 12 mois avaient à 16 ans de meilleurs résultats aux GCSE (l'équivalent du brevet des collèges) que ceux qui ne l'avaient pas été. Ils avaient 39 % plus de chances d'avoir de bonnes notes en anglais et mathématiques, et 25 % moins de risque d'échouer à l'épreuve d'anglais.
Dans cette étude australienne portant sur 5511 femmes allaitantes, un peu plus d'une sur cinq (1227, 22,6 %) a dit avoir vécu un phénomène d'aversion pendant l'allaitement. Malgré cela, 82,5 % de celles-ci considéraient leur expérience d'allaitement comme bonne ou très bonne.
Selon cette étude faite sur 191 745 enfants nés en Écosse à partir de 2004, les bébés allaités au sein pendant leurs six premières semaines de vie sont moins susceptibles d’avoir des problèmes de comportement ou des besoins éducatifs particuliers.
La recherche montre que les enfants nourris exclusivement au sein (c'est-à-dire qu'ils n'ont jamais de biberon) développent la capacité d'autoréguler leur consommation de lait maternel - après tout, les mères ne peuvent pas observer la quantité de lait que le nourrisson ingère. Cela encourage le nourrisson à prendre le contrôle, évitant ainsi toute surconsommation. Les nourrissons nourris au biberon (qu'il s'agisse de lait maternel ou de lait industriel) sont quant à eux soumis à l'encouragement de la mère ou d'autres personnes à vider le biberon. Cela rend possible que ces enfants soient empêchés de développer leur propre réactivité à l'appétit de manière autonome.
Dans cette méta-analyse portant au total sur 4 732 751 personnes, 25 581 décès ont été identifiés. L'allaitement pendant la petite enfance était associé à des risques plus faibles de mortalité au milieu et à la fin de l'âge adulte : - 5 % pour la mortalité toutes causes confondues ; - 9 % pour la mortalité cardiovasculaire et - 6 % pour la mortalité respiratoire.
Cette étude suggère que l’allaitement maternel pourrait, en cas de naissance par césarienne, compenser le manque d’exposition au microbiote maternel.
Les résultats de cette étude montrent que l’alimentation avec du lait de femme est associée à une maturation plus rapide du cortex cérébral des grands prématurés et que cet effet est dose-dépendant. Autour du terme théorique, la structure du cortex cérébral des grands prématurés qui ont consommé le plus de lait de femme présente, en IRM, des ressemblances avec la structure du cortex cérébral des nouveau-nés nés à terme qui peuvent traduire une densification cellulaire et/ou une arborisation dendritique et augurent un bon neuro-développement.
Des questionnaires sur l'alimentation, les données socio-démographiques et le motif de consultation ont été remis aux parents à leur arrivée aux urgences pédiatriques de 5 hôpitaux situés en Pays de Loire en 2018 et 2019. Les enfants atteints d'infections des voies respiratoires basses, de gastro-entérites aiguës et d'otites moyennes aiguës ont été inclus dans le groupe cas (266 sur 741), les enfants admis pour d'autres raisons ont été inclus dans le groupe témoin. L'allaitement maternel a été classé comme exclusif ou partiel.
Conclusion : L'allaitement maternel est un facteur de protection contre les infections respiratoires, gastro-intestinales et de l'oreille lorsqu'il est poursuivi au moins 6 mois après la naissance.
Dans cette étude, l'effet de l'allaitement prolongé sur le risque accru de caries dentaires était légèrement médié par la consommation de sucre. Les pratiques d'alimentation précoce pour la prévention des caries et la promotion de l'allaitement tout en évitant la consommation de sucre doivent être ciblées sur les 2 premières années de vie.
En l'absence de traitement efficace ou standardisé pour les infections aiguës des voies respiratoires inférieures (ALRI, acute lower respiratory infections) associées au virus respiratoire syncytial (VRS, respiratory syncytial virus), les preuves disponibles suggèrent que l'allaitement est associé à une fréquence et une gravité plus faibles des ALRI associées au VRS. L'allaitement maternel exclusif et partiel bénéficiant aux nourrissons qui développent une ALRI associée au VRS, l'allaitement doit être promu à l'échelle mondiale en tant que prévention primaire complémentaire, en plus des nouvelles stratégies d'immunoprophylaxie et d'immunisation maternelle.
Cette étude révolutionnaire de l'Université de Sheffield a découvert une protéine appelée Rac1, qui agit comme un interrupteur critique pour relancer la production de lait dans les cellules mammaires lorsque la lactation s'est arrêtée et que le sein a déjà commencé à revenir à son état d'avant grossesse.
Bien qu'il puisse être difficile d'allaiter les bébés atteints de trisomie 21, les données de cette étude anglaise faite sur 70 bébés de moins de 8 mois montrent que l'allaitement exclusif est possible pour certains, et que la prévalence de l'allaitement est comparable à la prévalence dans la population générale.
Pour résumer, le partage du lit a des effets protecteurs connus chez les nourrissons allaités, cela brouille l'association protectrice entre allaitement et mort infantile liée au sommeil. Il est temps de revoir les conclusions historiques de la littérature selon lesquelles le partage du lit serait responsable des morts liés au sommeil et de comprendre le rôle plus nuancé du partage du lit à la lumière de ce que nous savons de sa physiologie chez les nourrissons allaités et des principes de base de l'épidémiologie.
Dans cette revue de la littérature sur comment combattre (sans médicament) la douleur de la vaccination pour le nourrisson, l'allaitement arrivait en premier. "L'allaitement était supérieur aux édulcorants, et les édulcorants étaient supérieurs à l'eau stérile ou à la succion non nutritive en termes d'effets analgésiques pour les nouveau-nés et les nourrissons." "L'intervention gustative (allaitement) était plus efficace pour réduire la douleur que l'intervention tactile (soin kangourou, emmaillotage)." L'allaitement au sein était meilleur que le biberon et les préparations en poudre pour l'analgésie."
Le but de cette méta-analyse était de déterminer l’impact de l’allaitement et de la consommation de lait humain sur le risque d’endométriose.
Globalement, cette analyse est en faveur d’un risque plus bas d’endométriose chez les femmes qui ont allaité, ainsi que chez celles qui ont été allaitées.
Une étude faite sur 2 356 femmes d'âge mûr faisant partie de la Study of Women's Health Across the Nation, a montré qu'avoir allaité longtemps dans sa vie diminuait le risque de souffrir de symptômes vasomoteurs (bouffées de chaleur et sueurs nocturnes) à la ménopause.
Dans une étude de sept ans sur des nourrissons prématurés, des chercheurs du Brigham and Women's Hospital et des collaborateurs du South Australian Health and Medical Research Institute ont découvert que les enfants qui avaient reçu plus de lait maternel pendant et après leur séjour en néonat avaient de meilleurs résultats scolaires, un QI plus élevé et moins de symptômes de TDAH.
Cette étude faite sur des rats montre que le sevrage retardé chez les ratons les protège contre l'obésité induite par l'alimentation à l'âge adulte, grâce à une thermogenèse accrue du tissu adipeux brun et à une dépense énergétique. Un phénotypage métabolique approfondi dans ce modèle de rat ainsi que chez des souris transgéniques révèle que les effets de l'allaitement prolongé sont médiés par une production accrue de facteur de croissance des fibroblastes hépatiques 21 (FGF21) et un accès contrôlé par les tanycytes à l'hypothalamus à l'âge adulte. Spécifiquement, le FGF21 active les neurones contenant du GABA exprimant le récepteur de la dopamine 2 dans la zone hypothalamique latérale et la zona incerta. L'allaitement prolongé constitue donc un mécanisme de protection contre l'obésité en affectant des modifications physiologiques durables de la communication foie-hypothalamus et de la régulation métabolique hypothalamique.
Dans cette étude, le taux de SIgA (immunoglobulines A secrétoires) dans le lait humain (LH) congelé à -18°C pendant deux mois restait stable après une décongélation nocturne au réfrigérateur (4°C pendant 12 heures) avant réchauffement à 37 °C, comparé au taux dans du lait frais. La décongélation du LH au réfrigérateur pendant la nuit (puis le réchauffement à 25°C ou 37°C pendant 30 minutes) préserve la concentration en SIgA et l'activité du lysozyme dans une plus grande mesure que le chauffage immédiatement après sortie du congélateur.
Dans cette étude faite sur des enfants nés prématurés, une consommation de lait maternel plus élevée était associée à un QI de performance plus élevé et à de meilleurs scores en lecture et en mathématiques. Les parents signalaient également moins de symptômes de TDAH chez les enfants qui avaient consommé plus de lait maternel pendant la petite enfance. La durée de la consommation de lait maternel (jusqu'à 18 mois d'âge corrigé) était également associée à des scores plus élevés en lecture, en orthographe et en mathématiques (effet dose-dépendant).
Cette étude montre que les différences de composition des graisses entre le "lait de début de tétée" et le "lait de fin de tétée" chez une même femme sont plus faibles que les différences entre les individus.
Les enfants de mères plus pauvres qui ont été allaités pendant au moins 3 mois ont, à 7 ans, de bien meilleurs résultats dans les tâches impliquant la parole, le dessin et la compréhension.
Cette étude montre qu'un sevrage avant 6 mois est fortement associé à l'encombrement dentaire, au chevauchement vertical perturbé des incisives et au développement d'une hauteur faciale réduite. En cause, le développement d'habitudes de succion non nutritives.
Une étude multicentrique réalisée dans 6 villes de 3 régions de Chine en 2011-2012 montre que l'exposition maternelle aux polluants atmosphériques (PM 2,5 /BC) pendant la grossesse prédispose les enfants à la rhinite allergique, de façon variable selon les régions.
Le risque est abaissé de façon très significative en cas d'allaitement pendant au moins 6 mois, en particulier dans l'est de la Chine.
Une nouvelle étude publiée dans Annals of Allergy, Asthma and Immunology montre qu'une plus longue période d'allaitement exclusif est associée à une diminution du risque d'asthme. "Plus longtemps une mère a allaité exclusivement, plus la probabilité relative que son enfant souffre d' asthme est faible", a déclaré Keadrea Wilson, MD, auteur principal de l'étude et professeur adjoint de néonatologie à le Centre des sciences de la santé de l'Université du Tennessee. L'étude a combiné trois études pour obtenir un grand nombre de sujets - plus de 2 000 dyades mère-enfant. La durée de l'allaitement, si l'enfant recevait également du lait infantile/des jus/d'autres aliments n'offrait pas le même niveau de protection que l'allaitement exlusif.
Les données de 7 855 enfants nés entre 2000 et 2002 et suivis jusqu'à l'âge de 14 ans dans le cadre de la UK Millennium Cohort Study ont été analysées. Les mères ont indiqué la durée de l'allaitement et les capacités cognitives des enfants ont été évaluées à 5, 7, 11 et 14 ans.
À tous les âges, des durées d'allaitement plus longues étaient associées à des scores cognitifs plus élevés, même après ajustement pour le SEP et la capacité cognitive maternelle.
Cette méta-analyse regroupe 36 études ayant éudié les rapports entre allaitement et santé mentale de la mère (symptômes de dépression et d'anxiété post-partum). 29 d'entre elles avaient trouvé que l'allaitement est associé à moins de symptômes de mauvaise santé mentale, une seule avait trouvé qu'il était associé à plus de symptômes. Cinq études avaient montré que les difficultés d'allaitement étaient associées à un risque plus élevé de symptômes de santé mentale négatifs.
Cete étude a identifié 3 composants du lait maternel (lactoferrine, MUC1 et α-LA) qui inhibent l'infection par le SRAS-CoV-2. La lactoferrine et le MUC1 se sont avérés inhiber plusieurs étapes du cycle de vie du virus, tandis que l'α-LA bloquait l'entrée du virus dans les cellules.
Breast milk components show potent in vitro SARS-CoV-2 inhibition
Des IgA spécifiques du SRAS-CoV-2 était présentes dans le lait maternel plus fréquemment après la vaccination de la mère avec un vaccin à ARNm par rapport à un vaccin à vecteur viral. Des IgG était présentes dans le lait après 2 doses de vaccin reçues par la mère, quel que soit le type de vaccin. Cependant, les IgG était détectables plus tôt après la vaccination avec l'un ou l'autre des vaccins à ARNm, ce qui peut s'expliquer par le moment de la deuxième dose.
Cette étude de cohorte chinoise comprenant 129 511 femmes ménopausées ayant eu des enfants révèle que celles dont la durée totale d’allaitement a été d’au moins 7 mois ont un risque moindre d’AVC ischémique et d’HIC. En cas de HSA l’association ne devient probante qu’au-delà de 24 mois d’allaitement. Le risque est aussi minoré pour celles ayant allaité au minimum 7 mois le seul premier enfant.
Cette étude randomisée en simple aveugle a comparé les scores de douleur entre deux groupes de nouveau-nés prématurés subissant une ponction au talon pour prélèvement sanguin, le premier recevant du lait maternel et le second du saccharose à 24 %. Résultat : même efficacité antalgique dans les deux groupes.
L'allaitement est associé à une probabilité plus faible de colonisation par Helicobacter Pylori chez les bébés. Rappelons que cette bactérie est responsable de 80 % des ulcères de l'estomac.
Témoignages
Aux États-Unis, on a noté que pendant la pandémie de Covid, des mères ont poursuivi l'allaitement au-delà du terme qu'elles avaient prévu au départ, voire ont repris un allaitement qui avait été arrêté, et ce dans le but de protéger leur enfant grâce aux anticorps du lait maternel. Voir par exemple The Long-Haul Breastfeeders of COVID. En France aussi, des femmes ont poursuivi l’allaitement de leurs enfants pour des raisons de protection contre la COVID. Ainsi Marie-Xavier : "J’avais vraiment envie d’arrêter, mais il est tellement fragile sur le plan pulmonaire que je continue alors qu’il a 3 ans. Il n’est pas gravement malade, mais il casse sa courbe de poids quand il enchaîne les bronchiolites. L’allaitement, la nuit principalement, a été l'un des leviers pour limiter les dégâts, aussi sur le plan nutritionnel. Et le Covid a été ma grande crainte pour lui, car le Covid donne également des bronchiolites sévères. Je pense arrêter cet été. Enfin, si l'on a pas de nouveau variant d'ici là !"
Lydia : "Tout est possible, il faut de la persévérance, beaucoup de courage, être persuadée que c'est le meilleur cadeau qu'on puisse faire à son bébé préma, car je suis certaine que, grâce à mon lait, il a acquis l'immunité dont il avait besoin."
Charlotte : "J'ai une une maladie auto-immune qui s'appelle Purpura Thrombopénique Immunologique. Je suis sous traitement depuis maintenant 2015 : Tardyferon et acide folique. Ces traitements me permettent entre autres de tenir debout et de vivre presque normalement.
Depuis la naissance de mon dernier enfant, Maylie, qui a eu 9 mois le 8 avril, mon taux de plaquettes est remonté considérablement. Je ne suis plus essoufflée, je ne suis plus fatiguée intensément, et depuis presque neuf mois, je ne prends plus mon traitement d'acide folique et de Tardyferon. Je ne me suis jamais sentie aussi en forme, et j'en ai oublié ma maladie auto-immune."
Meilleurs voeux de Santé et générosité 2022 a toutes et tous merci la leche League continuer vos informations vital pour les femmes et futur mamans qui souhaite vivement allaiter aussi pour les pères c'est important leurs implications c'est aussi la base sereine il faut continuer d'informer et soutenir les futurs papas et mamans surtout en ses temps délicats ... n'hésitez pas allaiter vos bébés vous verrez c'est merveilleux et surtout vous aurez des résultats rapides multiples et sur le long terme il n'y a pas plus authentique que d'allaiter son enfant! jai allaiter ma fille quel joie et fierté c'est magique et tellement fort ce voyage entre nous du solide pour la vie et concernant les bienfaits c'est que du bon sens et de l'immunité essentiel aujourd'hui !! Vos informations utiles en disent long a ce sujet il faut continuer la recherche sur les bienfaits de l'allaitement maternelle c'est la clef pour l'avenir de nos progenitures c'est précieux toutes ses vertues naturelles que nous les femmes sommes capables de produirent le lait maternelle protecteur capital santé pour bébé et maman !
c'est extraordinaire et puissant d'allaiter son bébé transmettre tous ses bienfaits multiples a son développement et lui donner toutes les chances de son côté pour son développement santé et confiance au firmamans !! Ex : pour la varicelle très courte pas de fièvre un peu d'homéopathie voilà un des résultats de l'allaitement et pour l'allocution ect c'est le top vous découvrirez toutes ses joies de vivre au présent par vous mêmes alors écoutez vous et bon allaitement !!
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