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Article sur la dépression du post-partum, paru dans les DFossiers de l'Allaitement n° 74 (Janvier – Février – Mars 2008)

DA 74 : Dépression du post-partum : tour d’horizon

Commentaires (2)
Vos commentaires
  • Jayne
    le samedi 23 avril 2022 à 16:30 Posté par Jayne

    Bonjour, je ne lis pas du tout cette phrase de la même façon que toi Lucie. Je ne lis pas que les mères non-allaitantes prennent moins leur bébé dans les bras, mais qu'en cas de dépression (post-partum ou chronique), il sera plus "facile" pour une mère allaitante de prendre son bébé dans les bras (pas forcément moins pesant mais de fait, pour l'allaiter, elle le prendra dans ses bras, qu'elle en est "envie" ou non).
    Et c'est exactement ce que j'ai vécu.
    Le lien avec mon fils a été long à rétablir/construire; et je me demande souvent si nous aurions réussi à le faire si l'allaitement ne nous avait pas liés physiquement, en attendant que le reste (le coeur et la tête) ne (re)vienne. J'ai parfois eu l'impression que l'allaitement me pesait et l'on me demandait pourquoi je le poursuivais (en premier lieu la PMI et la psychiatre du centre hospitalier).
    Je l'ai allaité trois ans et je sais maintenant comme je pressentais alors que si je ne l'avais pas fait, j'aurais pu "laisser partir" cet enfant (abandon? gardes supplémentaires?). Il m'est arrivé de le changer "comme un robot" et si je ne l'avais pas allaiter, je ne l'aurais pas pris dans mes bras. Clairement.
    Merci à mon groupe local de la LLL qui, sans le savoir (je n'en ai jamais parlé dans cet espace) a permis cela. M'y rendre tout les mois était un rituel important. Je m'y suis rendu compte que l'allaitement de mon fils était très facile (techniquement, par rapport à d'autres), que le problème était ailleurs... L'allaitement a recollé les bouts, dans notre cas.

  • Lucie
    le samedi 27 novembre 2021 à 03:41 Posté par Lucie

    "L’allaitement protège également le bébé vis-à-vis de l’impact négatif chez lui d’une dépression maternelle, pro­bablement parce qu’une mère qui allaite doit avoir des contacts physiques étroits et réguliers avec son bébé, tandis qu’une mère qui nourrit son enfant au lait industriel n’a même pas besoin de prendre son enfant dans ses bras pour le nourrir, ce qui favorise le désengagement maternel."
    --> est-ce que vous vous rendez compte de ce que vous écrivez et à quel point vous pointez du doigt les mamans qui ont choisis de ne pas allaiter ? Pensez-vous vraiment que les mères qui n'allaitent pas ne prennent pas la peine de prendre leur enfant dans les bras ?
    Je crie haut et fort oui à l'allaitement, mais il y a souvent dans vos articles des propos culpabilisants (pour celles qui ont des difficultés avec leur allaitement, ou celle qui ne le font pas), alors qu'il serait si simple de respecter les choix de chacune, la maternité étant déjà par essence une période où l'on a tendance à (trop?) se remettre en question à force de vouloir bien faire.

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