L'allaitement semble instinctif pour le bébé et il semble naturel pour la mère comme pour son enfant. Toutefois, il existe des enfants qui semblent ne pas savoir comment se débrouiller au sein. Gryboski et Brazelton ont déclaré qu'il est normal pour le bébé de ne pas téter correctement pendant les 2 à 5 premiers jours post-partum, car il commence à organiser son comportement. Des mécanismes physiologiques permettent le maintien de l'homéostasie du nouveau-né pendant les premiers jours : un surplus liquidien et des dépôts graisseux, qui sont utilisés en attendant que le lait monte et que le bébé sache bien téter.
Extrait de "Le bébé qui rechigne à téter, quand bébé refuse le sein", Kittie Frantz.
Documentation LLL
Allaiter Aujourd'hui
- AA n° 104 - Trop de lait, trop vite, trop fort
- AA n° 78 - La méthode du drainage complet)
- AA n° 68 - Refus du sein, grèves de la tétée
- AA n° 66 - Donner son lait autrement qu'au sein
- AA n° 50 - Et le sevrage, comment ça se passe
- AA n° 30 - Quand bébé ne veut pas téter
Dossiers de l'allaitement
• DA n° 59 - Le point sur... l'utilisation des bouts de sein
• DA n° 60 - Cas cliniques : Le bébé qui ne prend pas le sein : 2 cas
Autres textes LLL
• Covid, bébés et perturbations du goût ?
Ndlr. Pour les Québécoises, "ne pas complémenter" signifie ne pas donner le lait tiré avec un biberon.
Témoignages
Catherine : À 13 mois, Justine m'a mordu le sein, et prenant peur devant ma réaction brusque, a refusé d'un coup toute tétée pendant trois jours. Trois longs jours ! J'avais une petite fille malheureuse qui s'accrochait à sa maman, ce qu'elle a rarement fait. J'ai annulé le week-end pour pouvoir materner, bercer ma bambine comme un nouveau-né, me baigner avec elle (ah, les tétées dans le bain... !) et profiter de la nuit pour lui proposer le "binbin", qu'elle a ainsi repris.
Ouf ! Rien à voir avec le sevrage : une grève de la tétée, c'est brutal et douloureux !
Edith : Ma fille a fait plusieurs grèves de la tétée, directement en lien avec mon réflexe d'éjection fort. Entre l'âge de 5 et 9 mois, il lui est arrivé de passer plusieurs heures sans vouloir téter (cela allait de 12 à 24 heures). Cela se produisait lorsqu'elle s'étouffait au sein, ou bien quand elle lâchait un sein, que je lui proposais l'autre et qu'elle était fâchée d'avoir reçu trop de lait trop vite (particulièrement si elle était juste en train de tétouiller pour s'endormir). Ce qui était particulièrement difficile, c'était de la voir pleurer autant alors qu'elle voulait manifestement téter, mais se détournait du sein en le repoussant dès que je lui proposais de téter... Elle avait du mal à trouver le sommeil, et finissait par s'endormir bercée dans l'écharpe ou dans les bras de son papa.
La meilleure façon de la convaincre de téter, c'était de lui proposer le sein pendant son sommeil léger, ou bien juste à l'instant où elle commençait à se réveiller. En général, cela marchait bien pendant la nuit.
Manuela : Timon a 9 mois ½. Vacances mouvementées dans le Sud-Ouest, avec une réunion de famille le 23 avril. Les trois nuits qui suivent sont entrecoupées de tétées, alors que Timon dormait toute la nuit depuis plus d'un mois. Sur la route du retour, le 27, Timon entame une grève de la tétée.
Je n'ai pas eu de mal à cerner le problème, car j'avais déjà lu des témoignages dessus. Cela va durer six jours, pendant lesquels il tète un sein le matin, mais me mord les autres fois où je lui propose. C'est d'ailleurs le fait qu'il tète le matin, même un seul sein à la place des deux habituellement, qui m'a confirmé qu'il n'était pas en train de se sevrer.
Sont-ce les dents ? Les vacances ? Le mois d'avril, qui est difficile pour moi (ma sœur, qui avait dix-sept mois de plus que moi, est morte d'un cancer un mois d'avril, et son anniversaire était également en avril) ?
Lundi (déjà le 2 mai et cinq jours de grève !), nous allons voir un médecin généraliste diplômée en allaitement, nouvellement installée. Elle me conseille de parler à Timon de ma sœur, chose que je n'avais pas encore faite. À midi, je lui explique donc pourquoi le mois d'avril est difficile et lui dit que ce n'est pas à lui de gérer ma tristesse.
Le soir, il recommence à téter après avoir mordu encore une fois. Le lendemain, je lui demande de prendre le sein pour téter et pas pour mordre. C'est reparti doucement, en quelques jours.
Pour autant, je n'explique pas cette grève uniquement par cette raison. Le fait même d'être perturbé par les vacances peut très bien en être la cause. De plus, la semaine qui a suivi, Timon a commencé à marcher à quatre pattes.
Joëlle : Lorsque ma fille a eu 14 mois, j'ai été très surprise de la voir soudain bouder le sein. À l'époque, elle tétait toujours beaucoup et avec le plaisir, l'entrain et la spontanéité que nos bambins savent exprimer à ces âges-là. Je ne comprenais pas ce qui se passait et j'étais désemparée de la voir si perturbée. Alix semblait pourtant vouloir téter, ouvrait la bouche et l'approchait du mamelon, mais restait la bouche grande ouverte sans téter. En une journée, mes seins ont commencé à être tendus, et ma fille était de plus en plus malheureuse. Elle refusait de s'alimenter et se plaignait de quelque chose, mais de quo ? Après avoir un peu réfléchi, je lui demandé de me montrer sa bouche et j'ai découvert des aphtes assez nombreux qui tapissaient l'intérieur de ses joues : les gencives étaient très rouges, en haut comme en bas. Bien que le traitement ait été assez efficace et qu'elle ait pu être rapidement soulagée, le souvenir de la douleur que la tétée lui occasionnait lorsqu'elle avait tous ces aphtes est resté traumatisant, au point de la faire hésiter à téter à nouveau comme avant. J'ai tiré mon lait toute la semaine et lui ai donné à boire... à la paille ! Mon truc pour regagner sa confiance : prendre un bain avec elle et la voir, décontractée, téter à nouveau avec quiétude. Je me souviens encore de cette tétée après cette "grève" d'une semaine, intense d'émotion, et du regard d'Alix, redevenu malicieux !
Sophie : Une grève de la tétée ? Je savais que cela pouvait arriver, mais je ne l'avais jamais vécu jusque là. A l'époque, des problèmes de santé m'obligeaient à me rendre souvent à l'hôpital pour des examens et des consultations. Laura, ma petite puce de 12 mois, m'accompagnait à chaque fois, car je ne savais jamais combien de temps j'allais m'absenter. Une journée fut particulièrement pénible : de longues heures d'attente dans des salles bruyantes et des déplacements nombreux dans les services. J'avais bien remarqué qu'elle ne réclamait pas à téter aussi souvent que d'habitude, mais je mettais cela sur le compte du dépaysement, et je me disais qu'une fois chez nous, tout rentrerait dans l'ordre. Eh bien, pas du tout ! En arrivant à la maison, je lui ai proposé de téter, car cela faisait plusieurs heures qu'elle n'avait rien pris. Et de plus, mes seins commençaient à être engorgés. Elle m'a tout simplement repoussée. Et plus j'insistais, plus je la sentais s'énerver. J'ai essayé de lui donner le sein en changeant de position, de lieu, dans la pénombre, dans le bain, mais rien à faire. Je devais me résoudre à l'évidence : elle faisait une grève de la tétée en réaction à cette dure journée d'hôpital. Là, j'ai commencé à paniquer un peu, car je savais qu'une grève peut durer plusieurs jours. Les questions se sont bousculées dans ma tête : combien de temps allait-elle réagir ainsi ? combien de temps pouvait-elle se passer de téter ? accepterait-elle de boire mon lait à la tasse ? comment ferais-je pour l'endormir ? etc. Alors, je l'ai installée dans mon porte-câLLLin, et je lui ai parlé de ce qui s'était passé, lui expliquant qu'elle n'avait rien à craindre, que je restais avec elle maintenant, que tout était fini, qu'on était à la maison en sécurité et qu'elle pouvait téter quand elle le voudrait. J'ai tiré mon lait pour soulager mes seins gonflés, et je me suis couchée avec elle, espérant que la nuit serait propice à un changement. Chaque fois que je la sentais bouger, j'approchais mon sein de ses lèvres pour qu'elle sente l'odeur et le contact de ma peau, mais sans la forcer à téter. Au petit matin, elle a tété un peu. Je n'osais y croire ! Et puis, au fur et à mesure de la journée, elle a accepté de téter de plus en plus souvent et de plus en plus longtemps. Le soir, toute cette histoire n'était plus qu'un mauvais souvenir. J'ai été soulagée que cela ne dure "que" 24 heures, car je me suis sentie rejetée et coupable de cette situation, et j'ai vu que Laura était malheureuse aussi.
Mélaine : En pleine poussée dentaire, ma fille de 17 mois m’a mordue une fois, j’ai réagi fortement et elle a fait une grève. Ce qui a fonctionné pour nous, c'est que j'exprime du lait directement sur la bouche de ma fille pendant qu'elle dormait, une fois, deux fois, trois fois... Et comme mon réflexe d'éjection arrive vite, quand cela la réveillait, elle avait le réflexe de téter jusqu'à ce que le débit ralentisse. Le matin, cela recommençait, elle ne voulait plus téter. Elle a fait ainsi pendant 3 jours, à téter juste la nuit de cette façon-là : moi qui provoque un réveil en lui mettant du lait sur les lèvres. J'ai aussi discuté avec ma fille, qui est très empathique. Je lui ai dit que je n'avais plus mal du tout, que mon sein était guéri et que tout allait bien., Au bout des trois jours, elle a recommencé à téter comme à son habitude.
Marie-Elise Izing, animatrice LLLF : Une maman m'a contactée, car elle venait d'avoir son deuxième enfant et était fort désemparée face à son bébé qui boudait le sein, ne le prenant que peu dans la journée et réclamant une tétine pour dormir. Elle se sentait obligée de tirer son lait, de peur que le faible nombre de tétées ne suffise pas à entretenir sa lactation. Le bébé a même fait des pauses de 12 heures sans téter.
La prise de poids était bonne, mais plus le temps avançait, plus son bébé devenait grognon. La maman ne savait pas faire autrement que de materner par le sein... mais son bébé refusait toujours le sein.
Au vu des antécédents de sa première enfant polyallergique, j'ai fini par lui évoquer à petits pas la piste d'une IPLV. Je dis à petits pas car la maman, de son propre aveu, faisait un blocage sur le fait que son fils le soit aussi et qu'elle doive refaire une éviction qui lui coûtait. D'autant qu'il n'avait pas de symptômes "physiques" comme son ainée avait pu en avoir (ils avaient fini à l'hôpital).
Bref, elle en a finalement parlé avec l'allergologue de sa fille. Il était sceptique, mais, au vu de sa détresse, il a accepté de jouer le jeu, et a mis le bébé sous Aerius. Il y a eu un mieux, mais l'instinct de la maman lui disait que ce n'était pas les PLV qui étaient en cause, alors que pour sa première fille, elle en était convaincue.
Cette warrior a donc noté tout ce qu'elle mangeait et les réactions de son fils. Après un crumble, ça a été la catastrophe, elle a donc enlevé les pommes (elle en mangeait 4 à 5 par jour). Après un pot-au-feu, idem, donc plus de carottes. Puis elle a trouvé que l’abricot faisait les mêmes effets.
Et depuis, devinez quoi ? Elle a un bébé greffé au sein.
Moralité : l'instinct d'une maman, c'est quelque chose.
La maman ajoute : il a été mis sous Aerius jusqu'à ses 6 mois, puis avec l'arrivée du pollen de bouleau, gros problèmes respiratoires et mise sous Ventoline et Célestene (5 jours), puis cortisone d’avril jusqu'à septembre par son médecin traitant, car la pédiatre était contre. Et cette année 2023, nous avons repris le traitement en accord avec le médecin puis la pédiatre. Il s'avère que les pommes, les carottes et les abricots sont des allergies croisées au pollen de bouleau..Et aujourd'hui, à 18 mois je suis à 8 tétées par jour, pour mon plus grand bonheur !
Kay, animatrice LLLF : Je pense toujours à ce moment magique en réunion LLL où une maman avait raconté en pleurs la grève de tétée de son bambin. Il avait passé un moment chez la belle-mère qui ne cessait de lui dire qu'il était grand, qu'il n'avait plus besoin de téter. La boite de mouchoirs a fait le tour de mon salon. Et puis, quelques minutes plus tard, alors qu'on avait commencé à discuter d'autres choses, la maman avait à nouveau fondu en larmes, mais cette fois parce que son bambin était venu reprendre le sein. Je ne sais pas si c'était parce qu'il avait compris que sa mère était chagrinée, ou si c'était le fait de voir plein d'autres enfants téter, mais en tout cas, je propose toujours aux mères d'aller en réunion pour régler une grève de tétée !
Julie : En octobre dernier, j’ai vécu un arrêt brutal de lactation, qui a duré trois (longues) semaines, mais aujourd’hui, tout est revenu. Je savais qu’il était impossible que la lactation s’arrête du jour au lendemain sans cause médicale, surtout après treize mois d’allaitement. Il est vrai que, deux semaines auparavant, j’avais fait une fausse couche spontanée. Mais comme nous avions écarté la grossesse extra-utérine, nous ne pensions pas qu’il y avait un rapport.
La première semaine a été très difficile : à chaque fois que je mettais ma fille au sein, elle s’énervait, me tapait le sein ou me mordait le téton. Je la laissais faire car, pour moi, ça devait aider à faire descendre le lait. Mais rien. Sa frustration était telle qu’elle finissait par me taper moi. Mais le plus difficile, c’était les douleurs à chaque tétée. Des douleurs de plus en plus intenses. Pour moi, c’est devenu une évidence : je n’avais plus de lait. Bien sûr, toute la journée, j’essayais d’exprimer mon lait (au travail, à la maison…), mais rien !
Au milieu de la deuxième semaine, j’ai envoyé un mail à LLL pour avoir des conseils. Sans réponse, je suis partie chercher une boîte de lait en poudre. Elle était posée là, sur la table, mais nous n’arrivions pas à nous résoudre à en donner à notre fille (ni mon conjoint, ni moi). Mon conjoint me rassurait en disant que c’était passager, que ma lactation reviendrait. Ne pouvant pas imaginer un tel sevrage pour mon bébé, j’ai continué à essayer d’exprimer mon lait non-stop, dès que j’avais quelques minutes. Ma fille étant diversifiée, elle prenait des yaourts pour compenser.
Durant cette semaine-là, ma fille a décidé de ne plus aller au sein. À chaque fois que je lui proposais (bain, coucher, jeu…), elle me disait "nan" et allait vers le frigo pour un yaourt.
Les douleurs étaient horribles, et je pleurais en silence la nuit (car je mettais ma fille au sein la nuit durant son sommeil pour palier son refus).
La troisième semaine est arrivée, chaque jour se ressemblait. Et puis, une nuit, j’ai mis ma fille au sein, et là, plus aucune douleur ! Pour moi, c’était bon signe, j’ai donc redoublé d’efforts pour tirer mon lait, et magie, j’ai enfin réussi à exprimer 30 ml ! Une victoire pour moi. Et le lendemain, 120 ml ! Ce jour-là, j’ai eu l’appel de mon animatrice LLL. Nous avons parlé de différents moyens pour redonner envie à ma fille de retourner au sein (moyens que j’ai mis en place), et nous avons supposé que je devais avoir eu encore des hormones de grossesse, étant donné les douleurs lors des tétées.
Aujourd’hui, cet épisode est derrière nous, ma fille aime de nouveau les "nénés", comme elle les appelle.
Avec mon petit loup d'1 an, l'aventure de l'allaitement a bien failli s'arrêter là. Pieds-mains-bouche contracté en juin, avec des aphtes dans la bouche et la gorge et six dents qui sont sorties... En a résulté une grève de tétée de plus d'un mois. Rien n'y faisait. Dès que je m'asseyais dans notre position de routine, c'était des pleurs et des gestes de refus. J'ai arrêté d'essayer de peur de braquer plus qu'autre chose et parce qu'à force, j'avais l'impression qu'il associait plus le fait de téter à sa douleur. Et j'ai tiré en attendant, en me disant qu'au pire, on continuerait comme ça le plus longtemps possible (au passage, bravo à celles qui ont le courage de faire durer longtemps l'allaitement de cette manière). Et puis un matin, tout est reparti. Juste avant de partir en vacances. Et heureusement : pendant les chaleurs du Sud, pas besoin de songer à mettre des réserves de lait au frais !
Autres documents
• Article de Marie Courdent, "Grève de tétée", publié dans Profession sage-femme n° 214, avril 2015. À télécharger ci-dessous.
• Jack Newman, Le bébé qui ne prend pas encore le sein
Bonjour,
Lazare mon bébé aura un an demain. Il est allaité à la demande depuis sa naissance et nous avons débuté la diversification à 5 mois 1/2.
Depuis samedi soir il ne téte plus (nous sommes mercredi matin). Lazare a une grosse poussee dentaire qui le fait souffrir terriblement. Nous avons vu la doctoresse hier, il n' a pas d'otite et son examen climique est bon .
Les jours sans les tétées me semblent longs, j'espère tellement que ça va revenir. De voir mon bébé si triste et désemparé de ne pouvoir téter me désespère. Nous sommes encore à 10-12 tétées par jour avec celles de la nuit, qui étaient encore si nombreuses. Il avait tellement de plaisir avec son poupou et ça lui apporte tant de réconfort lors de ses crises de douleurs aux dents que je me dis que ça ne peut pas s'arrêter ainsi.
Bonjour Leonardo âgée de 10 mois, à toujours était en allaitement exclusif, cela va faire 1 semaine qu’il me repousse, s’énerve et ce met à hurler lorsque je lui propose le sein.
J’arrive malgré tous à lui donne un petit peu le matin et un peu le soir mais cela ne dure que très peu de temps.
Mon médecin pense à un sevrage
J’ai essayé de me coucher avec lui avec les seins nus pour voir s’il viendrait de lui même, il les regardes ouvre la bouche mais direct ce retourne et pleure. J’ai essayer le bain, les câlins, différentes positions, changer de pièce avec ou sans lumière
Mais il me repousse toujours
Merci à vous
Bonjour
Mon fils de 7 semaines refuse de teter, et refuse que je prend dans mes bras quand il a faim, je tire mon lait et je le lui donne pour qu'il puisse se nourrir, sauf que je ne dois pas l'approcher.
Je suis anéanti, je ne sais pas quoi faire.
Merci de vos réponses.
Bonjour,
Ma petite de 4 mois refuse de téter ,et ce depuis qu'on lui a fait une freinectomie lingual, il y a une semaine. sachant qu'elle est allaitée exclusivement au lait maternel avec le biberon (tire-allaitement: Elle ne prend pas le sein).
S.V.P est ce que quelqu'un parmi vous a déjà eu un bebe qui refuse de manger ??
Dans tel cas, qu'est ce que vous avez fait ou qu'est ce qu'il faut faire ??
Et conseillez moi, S.V.P, chez quel médecin dois je me diriger , pcq avec son pédiatre on n'est pas arrivé à expliquer ce refus.
Merci pour vos retours.
P.S: J'essaie de lui donner le biberon en dormant, elle tete un peu mais une fois elle se réveille, elle refuse.
Bonjour, j'allaite mon bébé de 16 mois à la demande (au moins 10 tétées par 24h). Il a des aphtes depuis hier (concomitants à une poussée dentaire). Depuis 24 h, il refuse mon sein malgré câlins, portage, jeux, douche (on n'a pas de baignoire)...Je suis très malheureuse. Je ne suis pas du tout prête pour un sevrage. Même si je lis ici que c'est rare, c'est arrivé à plusieurs femmes de mon entourage. J'ai besoin de témoignages positifs. Je suis perturbée dans ma relation avec mon bébé car il ne veut que des câlins rapides (en même temps, je ne fais que pleurer !)
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