Ce dossier a été publié dans Allaiter aujourd'hui n° 50, LLL France, 2002
Une des caractéristiques de la situation de l'allaitement dans notre pays, c'est qu'à peine a-t-on commencé d'allaiter qu'on commence à penser (ou qu'on nous force à penser) au sevrage. "Quand est-ce que tu arrêtes ?" "Il faudra que le bébé soit sevré pour l'entrée en crèche." "Votre lait ne suffit plus, mieux vaut passer au biberon." "Je ne peux pas vous soigner tant que vous allaitez", etc., etc.
Et si la plupart de ces raisons étaient en fait de faux motifs de sevrage ? Et si le sevrage pouvait être autre chose qu'un arrachement mal vécu par la mère et l'enfant, autre chose que le constat d'un échec de l'allaitement ? Plutôt un détachement progressif du sein, signifiant que l'enfant grandit, à son rythme ?
Quelques définitions
Avant d'aller plus loin, il serait bon tout d'abord de savoir ce qu'on entend par sevrage. Et déjà là, tout le monde n'est pas d'accord. Dans le Petit Larousse 2001, à sevrage on lit : "action de sevrer un enfant, fait d'être sevré", et à sevrer : "cesser l'allaitement d'un enfant pour lui donner une alimentation plus solide". Dans le Petit Robert, le sevrage, c'est le fait de "cesser progressivement d'allaiter".
Étymologiquement, le mot vient du vieux français "sèvrement", provenant lui-même du latin "separare" qui signifie "séparer". Dans la littérature sur l'allaitement, on définit le sevrage tantôt comme l'arrêt total de l'allaitement (l'âge du sevrage est alors donné par le moment de la "dernière tétée"), tantôt comme la période (qui peut s'étaler sur des mois voire des années) pendant laquelle l'enfant passe progressivement d'un allaitement exclusif à la nourriture solide.
Comme le dit Ted Greiner (1), "le mot sevrage recouvre quatre pratiques distinctes : l'offre à l'enfant d'autres aliments dans des quantités n'étant pas censées avoir un impact nutritionnel réel ; le don d'aliments dans un but nutritionnel, parallèlement à la poursuite de l'allaitement ; le remplacement des tétées par d'autres aliments ; la cessation totale de l'allaitement."
Et n'oublions pas que les autres acceptions du mot sevrage signifient arriver à se passer de quelque chose de mauvais : sevrage du tabac ou autre drogue. Dans l'insistance à vouloir que les enfants se sèvrent du sein, n'y aurait-il pas quelque part l'idée que le sein est un drogue dangereuse ?!
Quand le sevrage advient sans qu'on l'ait voulu
Dans notre société, bien rares sont les allaitements qui durent le temps souhaité à l'origine par la mère. Combien de femmes racontent qu'elles auraient aimé allaiter (un peu) plus longtemps, mais "je n'avais plus de lait", "mon lait n'était pas assez riche", "mon bébé ne voulait plus du sein", etc.
Il n'est pas question de faire ici le tour de tous ces motifs de sevrage précoce, car un volume entier n'y suffirait pas, et nous avons abordé dans des numéros précédents la plupart de ces obstacles : le manque supposé de lait (AA n° 26) et les problèmes de prise de poids (AA n° 15), les douleurs de seins et de mamelons (AA n° 23), les problèmes de succion (AA n° 28), le bébé qui refuse de téter (AA n° 30), les croyances sur le lait "pas assez riche" (AA n° 38), le bébé qui réclame "trop souvent" (AA n° 44)...
Dans tous ces cas, on retrouve une méconnaissance des besoins du bébé (engendrant des attentes irréalistes) et/ou une méconnaissance de la physiologie de l'allaitement (engendrant des pratiques qui vont rapidement aboutir à un sevrage du sein). La mère restera sur un sentiment d'échec et sur l'idée que l'allaitement, ça ne marche pas pour elle...
Quand on croit le sevrage obligatoire
Un autre cas de figure, peut-être encore plus douloureux, se produit quand un évènement engendre un sevrage (souvent brutal qui plus est) présenté comme nécessaire.
Le cas le plus fréquemment rencontré est une maladie de la mère au cours de laquelle un professionnel de santé l'oblige à sevrer en prétextant que soit la maladie soit son traitement constitue un danger pour le bébé allaité.
Il faut savoir qu'il est rarissime qu'une maladie de la mère ou de l'enfant (AA n° 36) oblige au sevrage, et que la grande majorité des traitements médicamenteux sont tout à fait compatibles avec l'allaitement (Médicaments et soins de la mère allaitante).
Une autre situation où encore trop de femmes se croient obligées de sevrer leur bébé, c'est en cas de reprise du travail. L'information qu'il est tout à fait possible et facile de poursuivre l'allaitement quand on travaille, en donnant le sein chaque fois qu'on est avec son bébé, voire en tirant son lait pour qu'il lui soit donné en son absence, n'est pas encore assez répandue, même si elle l'est beaucoup plus qu'il y a une dizaine d'années (Travail et allaitement).
"Zoé n'a presque jamais pleuré, là-bas (au Tchad) on ne laisse pas pleurer les bébés. Elle a juste pleuré au moment du sevrage que j'ai fait trop tôt (...) Il me fallait gagner ma vie, je ne supportais pas d'être payée à ne rien faire, ou je ne supportais pas tout ce lait qui coulait de mes seins, qui débordait même, mouillant toutes mes robes. Je ne supportais pas l'odeur de mon lait qui me troublait (...) J'étais tout de même une mère célibataire pour la Coopération qui m'employait, et ce statut me culpabilisait" (Eva Thomas, Le viol du silence, éd. J'ai lu).
Le sevrage temporaire
Il peut arriver qu'un sevrage soit réellement nécessaire, par exemple quand un médicament vraiment incompatible avec l'allaitement doit impérativement être pris. Mais ce sevrage peut ne pas être définitif. Une fois le traitement terminé, par exemple, on pourra reproposer le sein au bébé qui, dans la plupart des cas, acceptera avec joie de le reprendre. Si l'on a pu entretenir la lactation pendant l'interruption en tirant son lait, l'allaitement reprendra alors sans problème. Sinon, il faudra peut-être (selon la longueur de l'interruption) faire une relactation (c'est-à-dire relancer la production de lait).
Si l'on peut reprendre l'allaitement après une interruption due à une cause impérative, on peut le faire également quand on a cru bien faire en sevrant et qu'on le regrette ensuite. Revenir sur le sevrage ne va pas perturber l'enfant psychologiquement, comme on l'entend dire parfois, ni le rendre blasphémateur !
"Les premiers chrétiens croyaient à l'idée superstitieuse selon laquelle redonner le sein à un enfant ayant déjà été sevré le transformait obligatoirement en futur blasphémateur (...) Au XVIIIe siècle, le chevalier de la Barre, 19 ans, sera décapité pour ne pas avoir salué une procession (...) À cette occasion, l'ancienne superstition refit surface, et circula dans Paris le bruit qu'enfant, sa nourrice l'avait repris au sein après l'avoir sevré trop tôt." (Martin Monestier, Les seins. Encyclopédie historique et bizarre des gorges..., Le Cherche Midi, 2001).
Une étude (2) a analysé les opinions et décisions prises par des mères vivant dans la banlieue de Lima (Pérou) sur le sevrage et la reprise éventuelle de l'allaitement. Les mères qui étaient revenues sur le sevrage l'avaient fait parce que celui-ci avait provoqué des manifestations négatives chez l'enfant : régression psychomotrice, troubles émotionnels, pleurs importants, maladies fréquentes, perte d'appétit et de poids...
On peut reprendre après une interruption, on peut aussi sevrer d'un seul sein. En fait, et surtout quand la lactation est bien installée, l'allaitement est beaucoup plus souple qu'on ne le croit souvent.
Et si c'était une grève ?
Il arrive qu'un bébé ou un bambin refuse subitement le sein. On trouve - ou on ne trouve pas - la cause de cette "grève de la tétée" (réaction de la mère après une morsure, douleurs dans la bouche, etc.). Comme pour toute interruption, l'allaitement pourra reprendre quand l'enfant, "réapprivoisé", sera à nouveau convaincu du bonheur de téter (Refus du sein, grèves de la tétée).
Le problème est que, surtout si la "grève" s'éternise un peu, l'entourage aura tôt fait de l'assimiler à un sevrage initié par l'enfant, et à culpabiliser la mère de vouloir "forcer ce pauvre enfant à téter".
Redisons donc haut et fort qu'un enfant qui arrête brutalement de téter n'est généralement PAS en train de se sevrer.
Quand la mère décide
Lorsque la mère décide d'arrêter l'allaitement avant que son enfant n'indique qu'il est prêt à cesser de téter, on parle de sevrage planifié. Selon l'âge de l'enfant, les modalités pourront être différentes, mais il est de toute façon préférable de faire cela progressivement (par exemple, éliminer une tétée particulière par jour et attendre deux ou trois jours avant d'en éliminer une autre).
Cette façon de faire sera à la fois plus confortable pour les seins de la mère, et plus satisfaisante psychologiquement pour l'enfant ET la mère, leur laissant à tous deux le temps de trouver des substituts non seulement au côté nutritif des tétées, mais aussi à leur côté affectif, relationnel...
Pour ce qui est de l'aspect nutritionnel, s'il s'agit d'un bébé de quelques mois, les tétées seront remplacées par des substituts du lait maternel donnés au biberon ou au gobelet (Sevrage du sein d'un enfant de moins de 6 mois, mode d'emploi). S'il s'agit d'un bambin, des solides et d'autres liquides pourront remplacer les tétées.
Sevrer un bébé plus âgé ou un bambin (qui a son mot à dire et le dit !) peut nécessiter des stratégies particulières. En voici quelques-unes, expérimentées par les mères, et qu'on peut combiner à volonté : ne plus offrir le sein, changer ses habitudes quotidiennes (par exemple, ne plus s'asseoir pour téléphoner, si c'est traditionnellement l'occasion pour l'enfant de demander le sein), demander l'aide du père (qui peut lever l'enfant et lui donner un petit déjeuner, lui faisant ainsi oublier la tétée du matin), anticiper les tétées et offrir un substitut (un en-cas) ou une activité intéressante (lire un livre, aller se promener, etc.), remettre la tétée à plus tard, raccourcir sa durée, passer un "contrat" avec l'enfant...
Ajoutons qu'un certain nombre de recherches semblent indiquer qu'il y a des moments plus favorables que d'autres pour un sevrage planifié. Suite aux développements psycho-moteurs qu'ils vivent, les bébés montrent quelquefois un moindre intérêt pour le sein entre 4 et 5 mois, vers 7 mois, et entre 9 et 12 mois. Par contre, entre 13 et 18 mois, ils manifestent souvent une angoisse de séparation qui rend le sevrage plus difficile (3).
Beaucoup de cultures traditionnelles ont préconisé – et préconisent encore – des manières de sevrer brutales et définitives, qui tiennent vraiment de la séparation, de l’arrachement.
Chez les Woloffs, par exemple, l’enfant était emmené un "beau" matin par son père dans un autre village où on lui donnait de la nourriture. Il perdait d’un coup et le sein et sa mère. On retrouve chez nous cette "méthode" de sevrage par séparation ou par abandon lorsqu'on conseille à une mère allaitante de prendre une semaine de vacances en laissant son enfant à la maison.
Il y a aussi toutes les méthodes qui consistent à dégoûter l’enfant du sein grâce à un produit appliqué sur les mamelons. Certaines populations tunisiennes utilisent le suc amer de l’Aloe vera. D’autres peuples, notamment en Amérique latine, utilisent le piment. En France, on a entendu parler de la moutarde pour cet usage. On parle aussi parfois de "maquiller" le sein (par exemple avec du charbon de bois) pour en faire une face grimaçante destinée à effrayer l’enfant.
Quel dommage de finir cette belle relation d'allaitement sur une note aussi noire et négative...
Quand un autre enfant arrive
Lorsqu'une femme se retrouve enceinte alors qu'elle allaite encore, il est assez fréquent que l'enfant allaité se sèvre ou soit sevré à un moment ou un autre de la grossesse. Plusieurs phénomènes peuvent expliquer qu'il se détourne du sein (baisse de la lactation, changement de goût du lait) ou que la mère ait envie qu'il réduise voire qu'il arrête les tétées (douleurs des mamelons, sentiment de malaise pendant les tétées). Au point que certains se sont demandés s'il n'existait pas un mécanisme psycho-biologique prévu par la nature et poussant au sevrage chez les femmes enceintes.
Cela dit, si la mère le vit bien, il n'y a aucun inconvénient, et il peut y avoir des avantages, à poursuivre l'allaitement pendant la grossesse voire après la naissance (Grossesse et allaitement, co-allaitement).
Ajoutons que certaines mères sont amenées à sevrer leur enfant non pas parce qu'elles se retrouvent enceintes, mais parce qu'elles... n'arrivent pas à tomber enceintes. Des recherches semblent en effet indiquer que certaines femmes, tant qu'elles allaitent et même si elles ovulent, restent infertiles à cause d'un changement hormonal infime imputable à l'allaitement. Dans ce cas, seul un sevrage complet leur permettra de concevoir à nouveau.
Le sevrage naturel
On ne reviendra pas ici sur les avantages de l'allaitement long (Allaiter plus de 6 mois). On ne fera que rappeler que toutes les études anthropologiques semblent indiquer que l'âge "naturel" pour le sevrage se situe entre 2 et 6 ans (4).
Cela veut dire que de même que les enfants commencent à marcher, à parler, à être propres, à des âges différents, ils peuvent se sevrer "naturellement" à des âges très différents (et même avant que leur mère ne soit elle-même prête au sevrage !) et à des rythmes très différents.
Tant qu'on ne l'a pas vécu, il est très difficile de "croire" au sevrage naturel. Quand on voit son petit téter avec avidité plusieurs fois par jour, comment imaginer qu'il puisse de lui-même, un jour, abandonner ce plaisir ?
Dans une société où l'on n'imagine pas de laisser l'enfant grandir à son rythme, où l'on se croit obligé de lui apprendre à dormir, de lui apprendre à parler, de lui apprendre à marcher, de lui apprendre la propreté, comment imaginer lui laisser l'initiative du sevrage ?
Cela dit, le sevrage naturel ne signifie pas que la mère nie ses propres besoins et limites, et ne fait rien pour influencer le cours du processus. On a pu décrire le sevrage naturel comme une danse complexe entre mère et enfant. Parfois l'enfant mène la danse, parfois c'est la mère, et parfois ils bougent en parfaite harmonie. Souvent, le sevrage naturel combine les suggestions de la mère pour des étapes dans le sevrage et le fait que l'enfant soit prêt à les accepter.
Envisager un sevrage naturel, c'est certes se lancer dans une aventure dont on ne sait ni quand ni comment elle se terminera. Ce qui peut être déstabilisant, voire angoissant. Mais c'est offrir à son enfant le cadeau magnifique d'une relation d'allaitement pleinement achevée, et en retirer soi-même un sentiment d'accomplissement ô combien précieux.
Claude Didierjean-Jouveau
(1) Ted Greiner, "The concept of weaning : definitions and their implications", JHL 12(2), 123-28, 1996.
(2) "Recognizing the reversible nature of child-feeding decisions. Breastfeeding, weaning and relactation in a Shanty town community of Lima, Peru". VGS Marquis, J Diaz, R. Bartolini, HC De Kanashiro, KM Rasmussen. Soc Sci Med 1998 ; 47(5) : 645-56.
(3) Brylin Highton, "Weaning as a natural process", Leaven, Dec.-Jan. 2001.
(4) Voir notamment les travaux de Katherine Dettwyler. Et aussi une étude récente qui, se fondant sur l'examen de l'émail dentaire de squelettes dont l'âge allait de 500 ans avant JC à 1500 de notre ère, conclut que ces individus avaient commencé à consommer des aliments solides avant l'âge de 2 ans, et que l'allaitement s'était poursuivi pendant la majeure partie de la période de minéralisation des prémolaires (2 à 6 ans). "Stable carbon and oxygen isotopes in human tooth enamel : identifying breastfeeding and weaning in prehistory". LE Wright et HP Schwarcz, Am J Physical Anthropology 1998 ; 106 : 1-18.
À lire
L'art de l'allaitement maternel, LLLI, p. 274-278.
La mère, le bambin et l'allaitement, Norma Jane Bumgarner, LLLI, p. 160-198.
Traité de l'allaitement maternel, Nancy Mohrbacher et Julie Stock, LLLI, p. 172-186.
À propos du sevrage, Diane Bengson, LLLI. Un ouvrage tout entier consacré au sevrage.
Maggie's weaning, Mary Joan Deutschbein, Moon Gold Press. Un album de photos légendées où Maggie raconte son sevrage.
A propos du sevrage
À propos du sevrage... quand l'allaitement se termine relate les expériences personnelles de mères qui ont sevré leurs enfants de différentes manières.
25,00 €
Peut être reproduit, imprimé ou diffusé à condition de mentionner la provenance de cet article.
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bonjour
MERCI infiniment pour ce super article plus qu'enrichissant ..
jai 3 enfants et bebe 3 a 17 mois et je lallaite encore et toujours .. cest un reel plaisir ...
en effet je me questionnais sur le sevrage...et je me suis également beaucoup questionné sur la methode que jallais appliquer ... je me suis dis que ce n'est pas un probleme de mathématiques pour resoudre le problème...
je pense pour moi qu'il sagit du feeling et de la cohésion avec son enfant....
je ne compte pas retravailler dans les prochaines annees ...
donc je vais la laisser se sevrer d'elle meme en douceur ... pas de Harissa sur le sein ni d'arrachement brusque ...
jessaie de ne rien programmer pour le sevrage ...
cela viendra tout doucement en attendant la seule raison qui me pousserais a stopper lallaitement ce sont mes deux trous ds les dents pour la pose de couronne ainsi que les voyages avec mon mari.... mais ca attendra ... et derniere raison ce sont les nuits depuis sa naissance AUCUNE nuit complete ? minimum 3 reveils...
Que de sacrifice
on est des mamans en or
des mamans qui dechirent
bon courage et bon sevrage
en douceur ?
Bonjour,
J ai une petite fille de 23 mois bientôt 2 ans que j allaite encore seulement voilà je suis enceinte de 8 mois j ai très mal aux mamelons et ne vit plus l allaitement comme un plaisir je me sens esclave comme "abusée" désolée pour le terme tétées au réveil pour la sieste d après midi et le soir pour dormir ... C est plus une tétine que de l alimentation ... Ma fille prend son pouce
Je ne sais pas comment faire je suis a bout physiquement et moralement je ne veux pas la laisser pleurer c est impossible pour moi
Pouvez vous m'aider ? Je ne sais vers qui me tourner je suis perdue épuisée et culpabilise de ne pas savoir faire
Merci pour tout
Bonjour
Profonde gratitude à toute l'équipe de LLL pour cet article : vraiment d'une grande aide .
Nous sommes mon fils de 9mois et demi et moi en route pour le sevrage : dur dur ! Mais il le faut pour pleins de raisons . Et dans cet article j'ai trouvé une sorte de soutient .
Cordialement
Bonsoir,
Je voulais de l'aide à propos de sevrage, j'ai trois enfants dont les deux premiers c'était sevrage à l'age de 18 mois mais à présent je suis malade, et je dois prendre des traitements qui n'est pas compatible à l'allaitement. Mon bébé a 7 mois et une semaine, elle se porte bien, en fin des petits maux dentaire la nuit, et quelque nez qui coule suite a une bronchiolite. Je ne sais pas comment m'y prendre car bébé tête beaucoup la nuit dans son sommeil ( cododo parfois)
S'il vous plaît aidez moi, je dois sevrer mon bébé.. c'est très dur pour moi.
Merci pour votre réponse
Cordialement
Bonjour.
J allaite ma fille de 10 mois. Elle est en plein sevrage. Il lui reste la tétée du soir avant de dodo et la nuit. Elle tète 1 ou 2 fois. J'aimerai savoir comment enlever ses 2 là ? Ça me paraît compliqué.
Je dois reprendre un traitement au plus vite en ayant une sclérose en plaques et ce traitement n'est pas du tout compatible.
Merci de votre soutien
Cordialement.
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